Vous présentez un rétrécissement de la valve aortique. Cette valve sépare le ventricule gauche (la pompe cardiaque) et l’aorte. Elle permet, en s’ouvrant à chaque contraction du cœur, le passage du sang du cœur vers le reste de l’organisme. Dans votre cas, ce rétrécissement est très important et nécessite un traitement.
Pourquoi vous propose-t-on une coronarographie ?
La maladie coronaire peut être responsable d'angine de poitrine (douleurs dans la poitrine) d'infarctus du myocarde, d'insuffisance cardiaque (qui se traduit souvent par un essoufflement) et peut évoluer éventuellement vers un décès. L'évolution peut être en grande partie freinée par un traitement adapté, il est donc important de faire un diagnostic précis.
Vous êtes atteint(e) d’un rétrécissement important au niveau de la valve aortique. Il s’agit de la valve qui sépare le ventricule gauche (la pompe cardiaque), et qui permet le passage du sang du cœur vers le reste de l’organisme. Ce rétrécissement en empêchant le sang de s’écouler normalement est responsable des symptômes que vous présentez.
Conscientes de l’importance croissante des techniques d’imagerie en coupes dans la pathologie cardiovasculaire,elle-même favorisée par des perfectionnements techniques extrêmement rapides et permanents, les sociétés savantes de cardiologie et de radiologie se sont rapprochées en juin 2004, afin de réfléchir sur les différentes actions à entreprendre dans ce domaine.
La SFC et la SFAR ont débuté en 2008 une réflexion commune concernant la prise en charge des patients coronariens devant être opérés d’une chirurgie non cardiaque. L’originalité des recommandations issues de ce travail est qu’il reflète un dialogue de deux ans entre la SFC et la SFAR et donc la réalité d’un terrain partagé entre anesthésistes-réanimateurs et cardiologues dans la prise en charge de ces patients. Ces recommandations se distinguent en cela des différentes versions des recommandations américaines de l’ACC/AHA et à la parution récente des recommandations de l’ESC endossées par l’ESA en 2009.
Le syndrome de Marfan est une maladie génétique, dominante autosomique, le plus souvent due à une mutation du gène codant pour la fibrilline de type 1, une protéine ubiquitaire constitutive de la matrice extracellulaire qui participe à la solidité des tissus. Le risque vital est en rapport avec l’atteinte aortique (dissection, rupture) et le risque fonctionnel en rapport avec l’atteinte ophtalmologique (qui peut conduire à la cécité) et l’atteinte squelettique (complications articulaires).